premières impressions
Ce que je trouve des lyonnais, c’est qu’ils sont aussi différents que les américains. Une certaine population d’eux ne veut pas aider les étrangers : ce sont des gens qui semblent surpris et même ennuyés quand je les laisse marcher avant moi. Ce sont des gens qui me regardent comme bizarre quand je ne sais pas comment ouvrir la porte de bus. Ce sont des gens qui me disent « Vite, vite ! J’ai d’autres tables à servir ! ». Mais une autre population d’eux, ils sont patients avec moi : ce sont des gens qui me montrent comment ouvrir la porte, qui m’aident à comprendre quels plats n’ont pas de viande, et qui sourient. De toutes les actions, c’est celle que j’aime le plus ; même si nous ne pouvons pas toujours nous comprendre, nous pouvons essayer ensemble.