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Lyon - Kansas-City juin 2008

6 juillet 2008

Jon, Diane, McKenzie

            C’était une nuit de juin et je me promenais dans une rue calme.  Il faisait sombre, j’étais la seule personne dans la rue, et j’avais un peu peur.  J’ai commencé à me promener plus vite quand je suis passé par une maison où j’ai entendu un bruit très bizarre.  C’était une grande maison avec beaucoup de fenêtres.  Il y avait une seule lumière dans la maison, mais je ne pouvais rien voir.  Je suis vite entrée dans la maison, dont la porte était déjà ouverte, et là j’ai trouvé un homme ficelé dans la salle.  Je l’aidais quand il m’a expliqué que des gens avec des pistolets étaient entrés dans la maison, soudain, et avaient pris sa femme. C’était effrayant.  J’ai noté tout ce qu’il a dit dans mon cahier, et en partout, nous avons trouvé une enveloppe.  Là dedans, il y avait une petite lettre qui disait : « Ne jouez pas avec nous ! 50,000 dollars demain soir, même endroit, ou vous ne reverrez jamais vivante votre femme. »  L’homme était encore triste.  Mais j’ai dit : « N’ayez pas de souci, monsieur.  Je suis enquêteur.  Votre femme sera sécurité, et demain soir vous la reverrez encore sans mauvais incident. »  A ce moment-là, il a passé une voiture très vite.  Je ne pouvais voir personne dans cette voiture, mais on a jeté quelque chose vers la maison.  Avant que j’aie mis mon pistolet, la voiture avait passé, sans hésiter.   On a trouvé l’objet dans la pelouse, un mouchoir attaché à une petite pierre.  J’ai ouvert le mouchoir, et il y avait une dent dans le mouchoir, qui était couverte par sang.  Je me suis rendu compte que c’était extrêmement sérieux.  Peut-être qu’on ne voulait pas seulement un peu d’argent.  Vraiment, nous avions la vie de cette femme.  Est-ce qu’il y avait plus dans cette histoire que j’avais su à ce moment-là ?  Ce n’était plus un cas de rançon…est-ce que cet homme me disait tout ce qu’il savait ?  Je n’en étais pas sur, mais j’allais le trouver.

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1 juillet 2008

Photo de Andre Kertesz « Tisza Szalka »

Souvent je fais une pause et je permets à mon esprit de vagabonder à travers le pays qui est très proche de mon cœur mais dont je suis séparée maintenant.  Je cherche du réconfort dans mon travail.  Je regarde toutes les photos de Hongrie que j’ai prises, mais je ne sais pas si les photos m’aident ou si elles m’apportent plus de douleur.   Spécialement, la photo que j’ai prise à Tisza Szalka en 1924. 

Quand je regarde l’image de cette vieille femme, je ne peux croire ce qu’il se passe dans le monde aujourd’hui.  Je me rappelle toujours la tranquillité de cette femme, la joie et la paix sur son visage.  J’ai pris cette photo, parce qu'à ce moment, quand elle faisait une pause après une longue journée, après un travail dur, elle prenait un plaisir simple en nourrissant ses oies.  Elle était contente avec rien.  Elle ne demandait rien du monde.  Elle a trouvé le bonheur simplement d’être vivante.  Elle ressemblait à tout ce que j’avais connu et ce que j’avais adoré de la Hongrie.  Elle ressemblait à la vie que j’avais très bien connue et que je n’ai jamais oubliée.  C’est la vie des gens ordinaires qui travaillent beaucoup et qui n’ont qu’un toit au dessus de leur tête, du pain sec sur la table, et peu d'animaux pour la viande ou pour le lait mais qui sont toujours prêts à partager tout avec un étranger.

Je ne peux pas croire que ce pays que je connais pour sa générosité, son hospitalité et sa gentillesse est maintenant détruit par la deuxième guerre mondiale et qu’on ne peut plus dire qui est un voisin et qui est un ennemi.  Pour moi, cette photo ressemble à la Hongrie que j’avais connue, la Hongrie dont j’ai dû partir et la Hongrie dont je rêve.

1 juillet 2008

La Fête de la Musique

J’ai entendu la vidéo de concert de Celo au Kraspeck Mysik et j’ai noté les informations suivantes : le nom de la chanson (« Du côté des fous »), une adresse où l’on peut trouver l’actualité de Celo (). J’ai aussi noté que cette vidéo a été ajoutée à trois groupes (« Fête de la musique à Lyon », « Lyon nouveau talent » et « vidéo lyon »). J’ai trouvé le groupe très intéressant. Je pense que c’est un mélange de jazz, de musique folk, de musique classique et peut-être de rock.

J’ai décidé de voir les concerts dans le premier, le deuxième et le cinquième arrondissement.  Je préfère le jazz, le Hip Hop ou peut-être le Pop Rock.  Donc,  samedi 21 juin, je commencerai à 18h à l’Esplanade de la Grande Côte ou j’écouterai du jazz, de la soul et du Hip Hop avec DJ Coxone.  Ensuite, j’irai Place des Terreaux pour voir le 69-Dockers.  Après je chercherai la rue Mercière et écouterai le groupe GAAS au Café du XXeme.  Je voudrais finir Place des Jacobins pour écouter le jazz-band de la Région Terre Sud-est.   

Je n’ai pas suivi le programme parce que j’ai passé le week-end à la campagne:):):) !

1 juillet 2008

Histoire d'une image

La Femme à l’ombrelle

Par Aristide Maillol

 Après avoir vu une femme qui debout en le embarcadère, j’ai été inspiré. Elle a été ma source d’inspiration pour ce tableau. Je l’ai parlé, et elle a dis que son mari était un soldat dans la armée. Je crois que la femme était triste parce qu’il a dû partir pour combattre dans la guerre. Elle lui aimait avec tout son cœur. Il a été lui amour premier, et elle lui manquait. Elle a été très très inquiet parce qu’elle n’a reçu pas une lettre de son mari dans un temps long. Elle a été inquiet parce qu’elle a pensé que peut-être il était mort. Qu’est-ce qu’elle devais faire, elle n’a su pas. Elle est retourné au embarcadère tout les jours. J’ai lui vu de ma fenêtre Après avoir allé tout les jour pour deux mois, elle a arrêté.

27 juin 2008

Roman Policier

(Patrick)
Il était l’automne. Personne n’était à la maison qui était couverte par la nuit. Un étranger qui se promenait dans la rue a arrêté devant la maison. Il a ouvert la porte et il est entré dans la maison. Le vent soufflait et faisait trembler les fenêtres. Qu’est-ce que l’étranger faisait à la maison ? Pourquoi est-ce qu’il était là ? Soudainement, un cri est sorti de la maison.
(Patricia)
    « Est-ce que c’est tout que nous savons ? » a dit détective Raymond à l’enquêteur.
    « Oui, nous avons seulement les descriptions des témoins, une photo, et une lettre. » a dit l’enquêteur.
    « Ce n’est pas beaucoup, Raymond a pensé, mais je dois trouver Mme. Martin. »
    Alors, détective Raymond a commencé son investigation. Il a commencé à rechercher les rapports de Mme. Martin. Il y avait une voisine jalouse, le patron de Mme. Martin, et un ami qui partait le jour après l’abduction.
    « Très suspicieux, Raymond a pensé, quelle est la raison pour son départ ? Mais, aussi la voisine est très bizarre, et encore, le patron de Mme. Martin veut la terminer. »
    (Erin)
Pendant l’enquête, détective Raymond a cherché à l’extérieur de la maison, et il a trouvé quelque chose. Il était apeuré de l’ouvrir parce que le chiffon était sanglant.

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27 juin 2008

Histoire d'une image

Salgado05    Toujours, nous travaillions plus de quinze heures. La boue couvrait nos corps et le soleil très chaud nous faisait être comme des sculptures d’argile ambulantes. Tout cela pour l’or qui nous séduisait.      
    Un jour, il n’y a pas longtemps, quelqu’un a trouvé de l’or dans cette foutue colline. Comme je n’avais pas du travail et comme j’étais sans terre, j’ai décidé, par nécessité, d’aller à la mine d’or de Serra Pelada. Tout le monde disait qu’on pouvait s’enrichir en trouvant de l’or de cette mine, qui était la plus grande mine à ciel ouvert du monde.    
    J’ai gagné un peu d’argent en trouvant de l’or, mais est-ce que cela valait la peine ? J’ai vu beaucoup de mineurs mourir dans des glissements de terrain, et ceux qui ont travaillé dans la mine ont été contaminés par le mercure que nous utilisions.    
    Dans le trou, qui se trouvait toujours plus proche de l’enfer, on n’était pas un individu. Nous étions une masse sans identité. Moi et les 60.000 autres personnes, nous étions des fourmis dans la fourmilière.   
     J’ai fui la mine avec un peu d’argent. Aujourd’hui j’ai une petite ferme dans la campagne. Il y a un proverbe au Brésil qui dit que tout ce qui brille n’est pas d’or, mais, après avoir travaillé dans la mine, je ne suis plus attiré par les choses brillantes.






                                                                                                                                                                                         Auteur :               Sebastião Salgado
                                                                                                                    Légende :               Vue d'ensemble de la mine                                                                                                    d'or de Serra Pelada, Brésil, 1986
                                                                                                                            Ajoutée le :               14/02/03

27 juin 2008

Arrivée à Lyon

Arrivée à Lyon      

J’arrive à Lyon à Perrache vers 13h.  Je suis fatiguée.  J’ai deux amis, Diane et Jonathan qui ont  voyagé avec moi.  Nous sommes fatigués et avons faim.  Nos bagages sont perdus à Paris, donc nous apportons seulement notre sac à dos.  Pendant que nous marchons, je vois beaucoup de gens différents. J’écoute le français autour de moi, mais cela va très vite, donc je ne peux pas tout comprendre.  Finalement, quand nous partons de Perrache et marchons dans les rues, je suis nerveuse et très heureuse d’être à Lyon.  C’est beau !  Je regarde tous les bâtiments ; les appartements avec les pots de fleurs à la fenêtre les restaurants qui exhalent une bonne odeur, et les magasins avec les beaux vêtements.  Tout ce que je peux faire c’est regardé tout!  Il y a des bruits des oiseaux, les enfants, les gens qui parlent, et la pluie.  Nous marchons sous la pluie vers notre hôtel.  Nous arrivons à l’Hôtel de Savoie, près de Perrache.  C’est une petite chambre, mais ça ne fait rien parce que nous sommes très fatigués.  Nous dormons pour un long temps, nous mangeons, et puis nous préparons pour le lendemain.

26 juin 2008

Polar!

Par équipes de trois, écrire le début d'un roman policier à partir des images suivantes:

polar1bis

polar2

polar3


Le premier auteur de chaque groupe débute le récit en s'inspirant de la première image (les autres images restent cachées).
Puis le deuxième auteur poursuit le récit, après avoir découvert la deuxième image.
Enfin le troisième auteur prend connaissance de la troisième image, et doit à son tour donner une suite crédible au récit...
Voyons le résultat...

26 juin 2008

Edgar Degas : La classe de danse


 

 Hier, je me suis assis et j’ai regardé les danseuses dans une grande salle. Il y avait beaucoup de jeunes filles, peut-être vingt dans la salle. C’était le matin avant que la classe a commencé. Le soleil du matin illuminait la salle. Leurs chaussons de danse roses et leurs tutus brillaient. La salle était vivante et enthousiaste. Les jeunes filles se sont étirées et une jeune fille s’est assis sur le piano pendant qu’elle parlait à ses amies. Il y avait les petits bruits ; les murmures, les rires, les bruits des chaussons de danse et les réajustements de leurs coiffures et toilettes. Elles ont attendu patiemment que leur classe ait commencé. Quand l’horloge a sonné 9h, les filles ont fini lacer leurs chaussons de danse. Apres deux ou trois minutes, leur professeur, un homme âgé qui marchait avec une canne, est entré dans la salle. Avant que la classe commençait, il a parlé avec la pianiste et puis avec un groupe de filles. Elles ont écouté attentivement avec enthousiasme. Je n’ai pas entendu ce qu’il a dit. Peut être quelques mots d’encouragement ou ce qu’elles pratiqueraient pour la journée. Ils n’ont pas resté là pour longtemps et puis ils ont commencé la classe quand je suis partie.

(Mac Kenzie Retzer)

26 juin 2008

Raconter l'histoire d'une image

Vous allez choisir une image (un tableau, une photo...) et vous allez écrire l’histoire de la création de cette image. Vous pouvez le faire de plusieurs points de vue différents :

  1. Vous vous mettez à la place de l’artiste, et vous      racontez comment et pourquoi il a réalisé cette oeuvre.
  2. Vous faites parler un témoin du moment où l’oeuvre      est réalisée, ou bien un des personnages représentés.
  3. Vous donnez la parole à l’image elle-même :      elle raconte comment elle est née, mais aussi son histoire depuis sa      création (achetée, exposée chez son propriétaire, dans un musée, vendue,      oubliée dans un grenier...)
  4. Vous vous mettez à la place de celui qui regarde      l’oeuvre : il exprime ses réactions et ses sentiments, il rêve, il      imagine quand, comment et pourquoi cette oeuvre a été créée.

 

Consignes :

  1. Dans tous les cas, c’est un personnage subjectif      qui s’exprime, et votre texte doit être rédigé à la 1ère      personne.
  2. Vous utiliserez principalement les temps du passé      (passé composé, imparfait, plus que parfait).
  3. Vous chercherez des informations historiques sur le      créateur de l’image, sur son oeuvre et sur le contexte historique de cette      création.

 

Pour choisir un tableau, vous pouvez aller sur le site du musée d’Orsay (Paris) :

http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/oeuvres-commentees/peinture.html

 

ou sur celui du musée du Louvre (Paris) :

http://www.louvre.fr/llv/oeuvres/toutes_oeuvres.jsp?FOLDER%3C%3Efolder_id=1408474395181066&CURRENT_LLV_DEP%3C%3Efolder_id=1408474395181066&FOLDER%3C%3EbrowsePath=1408474395181066&CONTENT%3C%3Ecnt_id=10134198673363815

 

Pour choisir une photo, vous pouvez allez à l’adresse suivante, et cliquer sur le nom d’un des grands photographes présents :

http://monsieurphoto.free.fr/index.php

 

Vous pouvez aussi choisir une image qui se trouve à une autre adresse. Dans tous les cas, vous enregistrerez l’image que vous avez choisie et vous la posterez sur le blog avec votre texte, en donnant des informations à son sujet (auteur, titre, date, etc...)

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Lyon - Kansas-City juin 2008
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